Quand la parole de l’autre nous blesse, quand l’attitude de l’autre nous heurte, que viennent-elles dire de nous, de notre histoire, de nos peurs, de nos limites, voire de nos blessures ? que viennent-elles nous raconter ?
Je vous invite à faire ces « pas de danse » de l’autre à soi, de soi à soi et de soi à l’autre. Mieux se connaître et mieux se relier.
Et si nous nous engagions dans une éducation à soi – éducation au lien – éducation à l’autre ? dans une démarche globale, c’est-à-dire mobilisant une conscience à soi dans les dimensions des pensées (mental), des sensations (du corps) et des émotions (du cœur).
Comment je m’engage dans une éthique du lien, du lien à soi, du lien aux autres ? Comment je crée des liens sains, bons pour moi et par la même pour les autres ? Comment je prends cette responsabilité éthique du lien ?
Je vous propose d’être dans une attitude de présence à soi, d’une conscience de soi.
Être parfaitement conscient.e de ce qui se passe au dehors de nous et au-dedans de nous : c’est être dans un ajustement créateur avec l’environnement avec un soi souple et en mouvement.
C’est-à-dire voir que l’extérieur et l’intérieur sont davantage liés qu’on ne le croit au départ. C’est voir que l’extérieur n’existe que parce qu’il se manifeste en nous sous forme de sensations, d’émotions et de pensées.
Quand il n’y a pas de vigilance à soi, il y a seulement des fonctionnements, des pensées qui se succèdent. Un enchaînement d’actions et de réactions, de sensations et des émotions, mais sans conscience d’être.
Et si nous arrivions à conserver la conscience de soi tout en étant en même temps actif.ve et conscient.e de ce qui se passe à l’extérieur de soi. Une forme de conscience ouverte, une qualité d’intelligence ouverte.
Une agilité d’ajustement vers une qualité relationnelle. Une intelligence du lien en devenir.
Devenons des permaculteur.trices du lien.
Je vous invite à entrer dans la danse !
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